Merci à Jean Michel DOZIER pour ce document
1584 F/O Stanislaw SWIDA RAF Pologne
Serial avion : Z1491 Squadron : 301 Groupe (pour les Américains) :
Date de mission : 29/08/1943 Mission : Saarbrücken Type mission : bombardement
Date de naissance : 28/01/1911 Age lors de la mission : 32 Nb jours d’évasion : 87
Villes traversées
Retour : 24/11/1943
Date d’arrestation : Lieu d’arrestation :
Lieu de parachutage : RUMMEN Belgique
RUMMEN – BRUXELLES (BRUSSEL) – DOUR – LE QUESNOY – PONT-A-MOUSSON – NANCY – BELFORT – MONTBELIARD – SAINT-HIPPOLYTE
(DOUBS) – CHAMESOL – PORRENTRUY – BERNE (SUISSE) – HENNIEZ – GENEVE – FRIBOURG – FREIBURG – GENEVE – FRIBOURG – FREIBURG –
HENNIEZ – BERNE (SUISSE) – GENEVE – SAINT-DIDIER-EN-CHABLAIS – AIX-LES-BAINS – LYON – TOULOUSE – LYON – AIX-LES-BAINS – LYON –
TOULOUSE – BOUSSENS – SALIES-DU-SALAT – SAINT-GIRONS – MASSAT – EL-SERRAT – ANDORRE (ANDORRA) – LA SEU D’URGELL –
BARCELONE (BARCELONA) – MADRID – GIBRALTAR
[Ajout par JMD] HELPER N° 01 (Non connu(e) de l’I.S.9/M.I.9)
(N° Record Base Helpers 78322) M Victor FARRELL (V) GENEVE (Pa) Sw (M) Vice Consul Britannique à Genève (AIDE) aide
matérielle hors hébergement (nourriture,vêtements, faux papiers, interprète, …..)
[Ajout par JMD] HELPER N° 02 (Non connu(e) de l’I.S.9/M.I.9)
(N° Record Base Helpers 78323) M Stanislas OPIELA (Pa) Pl (I) Informations du fichier SHD de Vincennes – Cote : GR 16 P 450912 / OPIELA Stanislas / né(e) le 15/03/1919 Homologué(e) FFC convoyage (R) F 2
[Ajout par JMD] HELPER N° 03 (Reconnu(e) « French Helpers » par l’I.S.9/M.I.9)
(N° Record Base Helpers 819) M Konstanty BARZYCKI (A) 5 rue Talma (V) AIX-LES-BAINS (Dpt/Reg) Savoie (Pa) Fr (I) Informations du fichier SHD de Vincennes – Cote : GR 16 P 36441 / BARZYCKI Konstanty / né(e) le 13/03/1913 à Rachny POLOGNE
hébergement (nourriture, vêtements …..)
Profession dans le civil : ingénieur
Adresse : c/o W/Cdr KARPINSKI, 47 Eton Place – Eton College Road – Londres.
Ancien de l’armée de l’air polonaise
Navigateur.
Quitte Gibralter : le 20/11/1943
TRADUCTION de son SP/G
J’étais membre de l’équipage d’un Wellington Mark2 qui a décollé aux environs de 20 H le 28 août 1942 pour bombarder
Saarbrücken. Lors du voyage aller, nous avons été attaqués par des chasseurs de nuit aux environs de 22 h 00 et l’ordre fut
donné de sauter en parachute et nous sommes tombés à environ 60 kms au Nord Est de Bruxelles.
J’ai sauté en quatrième position alors que TYSZKO et WASLAK étaient encore dans l’avion.
Je suis tombé dans un verger derrière une petite ferme et comme je pensais que l’avion s’était écrasé quelque part non loin de là,
j’ai décidé de partir immédiatement. J’ai caché mon parachute et je suis entré dans une ruelle où j’ai rencontré une femme qui
venait de la ferme. Elle fut amicale et me montra la direction que je devais prendre pour échapper aux Allemands. Je suis parti
vers les champs et j’ai traversé la campagne. Ils m’avaient tous conseillé de me rendre à la police dans le village le plus proche.
Je me suis refusé à le faire et après avoir suivi un peu une route, j’ai à nouveau traverser la campagne.
29 août : Je suis parti Sud, sud ouest en suivant les étoiles jusqu’à 4 h 00 (29 août). Alors que je suis passé dans un verger,
quelques chiens ont aboyé, et un garde-forestier est arrivé pour investiguer. Il ne parlait que le flamand et je ne pouvais pas le
comprendre. Il me ramena chez son employeur, et avec eux, j’ai pu parler pendant environ une heure en français. Il me disait que
c’était impossible pour moi d’éviter la capture, deux membres de l’équipage avaient déjà été arrêtés dans le secteur et me
conseilla de me rendre par moi-même. Comme j’ai insisté pour essayer de me sauver, l’homme m’a montré un bois près de sa
maison, où il pensait que ce serait mieux pour moi d’y passer la journée. Il m’a aussi donné quelques fruits.
Information(s) donné(es) dans le rapport
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Synthèse complète créée le : 31/08/2022
Cette synthèse prend en compte les éléments présents dans la base de données à la date d’impression. Elle est donc susceptible de modifications (Ordre et nombre de Helpers, informations …)
en fonction de nouvelles informations apportées au dossier du Militaire ou du (des) Helper(s).
30 août : Je suis resté dans le bois jusqu’au soir puis j’ai recommencé à marcher. J’ai marché à travers champs toute la nuit,
demandant pain, eau et cigarettes aux personnes dans les petits villages que je traversais. Au matin du 30 août, j’ai dormi
environ 2 heures et j’ai alors décidé que le seul moyen d’éviter la capture était de me procurer des vêtements civils, me
permettant ainsi de voyager en train. Je suis allé vers la première maison du village le plus proche et là, il m’a été possible
d’acheter une veste de paysan, que j’ai mis au-dessus de mon blouson de vol. Je suis ensuite allé à la gare du village (nom
oublié) et j’ai pris un train pour Bruxelles. Dans le train, j’ai rencontré un homme qui m’a indiqué par signes qu’il avait compris
que j’étais un aviateur de la R.A.F. En chuchotant, il m’a dit de le suivre lorsque nous serions arrivés à Bruxelles et m’amena chez
lui.
BRUXELLES : J’y suis resté de 10 h 00 jusqu’à 17 h 00. Pendant ce temps, mon hôte essaya, sans succès, d’entrer en contact, avec
une organisation britannique.
DOUR : sur les conseils de mon helper, je suis parti le même jour pour DOUR. Là, au départ, je fus incapable de trouver une aide
quelconque pour me faire traverser la frontière vers la France. Alors que j’attendais le prêtre local, j’ai entamé la conversation
avec une femme. Comme il apparaissait que ses propos étaient très anti-allemands, je lui ai dit qui j’étais et je lui ai demandé
de l’aide. Elle s’arrangea pour que son mari m’emmène dans un village (pas de nom) près de la frontière, où, avec l’aide d’un
ami, ils me firent traverser la frontière pour arriver à un autre petit village où ils me trouvèrent un hébergement pour la nuit.
31 AOUT : à 5 H 00 le lendemain matin, le 31 août, je me suis entretenu avec mon hôte français. Il me conseilla de me rendre en
Suisse plutôt qu’en Espagne en raison des difficultés pour passer la ligne de démarcation en France non occupée [* ????
totalement occupée depuis novembre 1942 ??? *] . Avec cette suggestion, j’ai commencé à marcher le même jour vers LE
QUESNOY avec l’espoir de prendre un train pour NANCY. J’ai manqué le seul train de la journée et j’ai passé la nuit dans un
verger.
1er SEPT : le lendemain matin, j’ai acheté un ticket pour NANCY. Il y a eu un contrôle d’identité par deux Français en civil. Quand
j’ai dit que je n’avais pas de papiers, ils commencèrent à fouiller mes poches et trouvèrent ma carte d’identité R.A.F. Ils m’ont
taxé d’anglais et j’ai acquiescé. Ils m’ont alors prévenu que je ne devais pas aller à NANCY en raison du grand nombre
d’Allemands qui s’y trouvaient, me souhaitèrent bonne chance et partirent. Ils y avaient 4 Français dans le compartiment. Ils
devinrent alors très excités et m’interrogèrent que ce que j’allais faire. Ils me dirent que je ne devais pas aller à Nany en raison
du nombre d’Allemands et finalement j’ai décidé d’aller avec eux à PONT-A-MOUSSON. Je suis resté pour la nuit dans cette ville
chez un des hommes (1er au 2 sept). Il m’amena chez un officier de gendarmerie, qui m’a donné une carte d’identité française,
pour laquelle j’ai donné une de mes deux photos en costume civil, prises en Angleterre.
2 SEPT. MONTBELIARD : Le lendemain matin, mon helper m’emmena en train de PONT-A-MOUSSON à NANCY et m’acheta un billet
pour BELFORT. De NANCY, je suis parti seul à BELFORT où j’ai changé de train pour MONTBELIARD. Mon helper de PONT-A-
MOUSSON m’avait dit que je devais aller en bus depuis MONTBELIARD vers un endroit à la frontière dont j’ai oublié le nom.
Pendant que j’attendais le bus, je suis entré dans un café et j’ai entâmé une conversation avec le propriétaire. Quand il m’a
appris de ne pas aller vers cette destination mais plutôt vers SAINT-HIPPOLYTE à environ 15 miles au sud de MONTBELIARD, en
marchant vers CHAMESOL à environ 3 miles au Nord où il me serait possible de trouver de l’aide au café. Je suis allé au café à
CHAMESOL, mais ne trouva pas la femme qui aurait pu m’aider. J’ai passé la nuit dans les bois et je suis retourné au café le
lendemain mais la femme n’était pas encore là. J’ai alors décidé qu’il devenait très dangereux de rester dans un aussi petit
endroit et de passer la frontière seul.
3 SEPT PASSAGE DE LA FRONTIERE VERS LA SUISSE. J’ai traversé la frontière vers la SUISSE aux environs de 15 h 00, le 3 septembre
en ayant été dirigé dans la forêt par des paysans. Je n’ai pas vu de gardes allemands du côté français, mais juste après le
passage de la frontière, je fus arrêté par des soldats suisses. Ils m’amenèrent au poste frontière où un officier suisse
m’interrogea. Je n’avais pas de carte d’identité avec moi, ayant laissé ma carte d’identité R.A.F à PONT-A-MOUSSON et détruit ma
carte d’identité française juste avant que je ne quitte la France. Après interrogatoire, je fus mis en prison à PORRENTRUY
pendant sept jours, à la fin desquels je fus amené à BEREN où j’ai vu les autorités consulaires polonaises et l’attaché
britannique de l’air.
Je suis resté en Suisse jusqu’au 1er octobre, étant interné la plupart du temps, en raison de quelques malentendus sur mon
statut avec les Officiers de l’armée polonaise qui étaient à HENNIEZ (Canton de VAUD) depuis 1940. Mon voyage depuis la SUISSE
a été arrangé pour moi.
TRADUCTION de L’ANNEXE C / I.S. 9 / Date du rapport 24/11/1943
Je suis arrivé en SUISSE le 3 septembre 1942. Après sept jours de prison à PORRENTRUY, je fus amené à BERNE où j’ai vu les
officiels du consulat polonais et l’attaché britannique de l’air. L’attaché britannique de l’air m’a dit que je devais rentrer en
Angleterre le plus vite possible et que je devais partir à GENEVE rencontrer Mr FARRELL, le P.C.O. A GENEVE, Mr FARRELL me trouva
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une pension où je suis resté quatre jours avant de pouvoir sortir. Il me donna alors une carte d’identité qu’il avait apparemment
obtenu de la police suisse et qui statuait que j’étais Louis REMY, un Alsacien. Après avoir reçu cette carte, je fus capable de
rester libre dans un petit hôtel près de GENEVE, dans lequel il me dit que je serais environ 2 semaines.
Alors le F/LT FOWLER (S/PG (G) 994) est arrivé d’Allemagne et vint rester dans le même hôtel, Mr FARRELL nous indiquant que
nous serions là pour encore dix jours. Pendant ce temps-là, j’ai reçu la permission de me rendre à FRIBOURG, où mon frère, qui
était dans l’armée polonaise était interné. J’y suis allé deux fois sur sept jours pour parler avec lui. Mr FARRELL annonça alors
que je partirai en novembre avec FOWLER, mais le 11 novembre 1942, les Allemands occupèrent la partie sud de la France et Mr
FARREL annonça un nouveau délai d’un mois. Il donna également la permission au F/Lt FOWLER d’aller à BERNE et moi de
retourner à FRIBOURG pour rester dans une maison privée.
A une seule occasion, lorsque j’étais à FRIBOURG, une lettre envoyée par Mr FARRELL est arrivée pour moi, et le propriétaire de
mon appartement m’informa qu’elle avait été ouverte par la police et qui lui demandait qui j’étais et pourquoi je recevais de
l’argent de la délégation britannique. Je suis retourné à GENEVE pour raconter à FARRELL ce qui était arrivé. Il m’a dit que ce
n’était pas important et que je pouvais donner à la police ma véritable identité. Je suis resté quelques jours à GENEVE et Mr
FARRELL me donna des papiers avec mon vrai nom et ma vraie nationalité. Deux jours après mon retour à FRIBOURG, la police
suisse vint à l’hôtel où je me trouvais et m’amena au poste de police. Après sept heures, j’ai été mis en prison près de FRIBOURG
où on m’a gardé deux jours parce qu’on suspectait que j’étais un espion. Le chef de la police me demanda de donner ma parole
de ne pas quitter le district en restant à l’hôtel tout en me présentant deux fois par jour au poste de police.
Après environ une semaine, un ordre est arrivé des autorités suisses disant que je devais être interné dans le camp de HENNIEZ
(Canton VAUD) avec les officiers de la seconde division d’infanterie polonaise qui avait traversé, armés, la frontière entre la
France et la Suisse , en 1940. Après quelques jours à HENNIEZ, je revins non officiellement à BERNE et j’ai vu l’attaché
britannique de l’air qui m’a promis que je serai bientôt libéré, et pour cette raison, je suis retourné dans le camp à HENNIEZ.
Je fis par moi-même tout ce que je pus pour être libéré et renvoyé en Angleterre. J’ai envoyé une protestation, rédigée avec l’aide
de mon frère qui était juriste, au gouvernement suisse, précisant que j’étais d’une catégorie différente des officiers polonais
internés dans le camp. Les Suisses m’ont promis de reconsidérer mon cas.
En août 1943, j’ai décidé d’essayer de partir seul. Je n’avais pas d’argent, n’ayant rien reçu des autorités britanniques depuis
mon internement. En septembre, je suis allé au Consulat Polonais à BERNE et leur dit que je ne pouvais rester plus longtemps
dans le camp, que j’allais essayer de rejoindre l’ESPAGNE par mes propres moyens et j’ai demandé de l’argent. Ils me
répondirent qu’il était m »était impossible de partir seul, probablement recapturé par les Suisses ou pris par les Allemands en
France.
A la fin du mois de septembre 1943, j’ai reçu un message du consulat polonais à la suite duquel je suis parti à BERNE puis à
GENEVE le 1er octobre. A GENEVE, j’ai rencontré un Polonais (Stanislaw PIELA) [ * probablement Stanislaw OPIELA – Résistant –
Homologué F 2 * ] qui traversait régulièrement la frontière. J’ai donc traversé la frontière le même jour avec PIELA et un autre
Polonais (PERZANOWSKI) qui travaillait avec lui dans le travail d’espionnage pour les Polonais et probablement pour les
Britanniques. Nous avons traversé la frontière pour ST. DIDIER-EN CHABLAIS où nous avons pris le train pour AIX-LES-BAINS.
Je suis resté trois jours à AIX pendant que PIELA s’arrangeait pour que je rencontre à TOULOUSE un Polonais nommé BARZYCKI. Je
suis allé à TOULOUSE vers le 7 octobre mais je ne réussis pas à rencontrer BARZYCKI que je n’avais jamais vu avant et dont je
n’avais vu qu’une seule fois sa photographie [* Etudier le rapprochement avec l’officier polonais qui travaillait depuis l’Hôtel
des MONGELARD à Toulouse en 1941 – 1942 – Le nom se rapproche du nom donné dans le dossier NARA *] . Ce fut une chance
pour moi de ne pas l’avoir rencontré parce que le groupe qu’il avait envoyé ce jour-là avait été arrêté par la Gestapi en ANDORRE
et ramené en FRANCE.
Après avoir manqué BARZYCKI, je suis rentré à AIX où je suis resté environ deux semaines. Pendant ce temps, BARZYCKI est arrivé
à AIX et je l’ai rencontré.
Je suis reparti à TOULOUSE aux environs du 29 octobre. Là, j’ai retrouvé BARZYCKI et j’ai voyagé avec lui en train jusqu’à
BOUSSENS et par bus jusque SALIES-DU-SALAT, où il y avait une grande communauté polonaise qui vivait dans un camp. Dans le
camp, il y avait un appartement réservé aux hommes en partance pour l’Espagne. Je suis arrivé seul dans ce camp et fus rejoint
plus tard par quatre Polonais.
Le 2 novembre, nous avons rejoints 5 autres Polonais et un guide et le groupe entier est parti en bus pour SAINT-GIRONS et
MASSAT. Deux Français nous ont alors rejoints. Au passage de la frontière, un autre guide nous a pris en charge. La traversée
nous a pris trois jours et nous sommes arrivés dans un village en ANDORRE le 6 novembre. Le guide nous emmena en bus dans
un hôtel à ANDORRE même où nous avons passé une nuit.
En arrivant à BARCELONE le 9 novembre, nous sommes allés à la Croix Rouge polonaise qui prit les dispositions pour la nuit, en
nous disant que nous devions nous présenter à la Police le lendemain. Le 10 novembre, cependant, je me suis présenté au
Consulat Général britannique et leur ai expliqué qui j’étais. Le soir même, je fus déplacé vers un autre logement et le 12
novembre, je fus envoyé en voiture avec deux Américains et un Français à l’ambassade britannique à MADRID. Après 8 jours
passés dans l’Ambassade je fus envoyé à GIBRALTAR, où je suis arrivé le 20 novembre.
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Membre(s) de l’équipage
1584 F/O Stanislaw SWIDA
0871 P/O Joseph TYSZKO
0870 Sgt Anton WASIAK